ITURI – éducation : un corps éducatif exalte les scientifiques

Des réactions figent de partout afin d’illuminer l’appareil éducatif congolais. Après le préfet Daniel Unen Ng’abyero du complexe scolaire Moderne Sainte Elisabeth Aru, c’est au tour de l’enseignant Etsoni Omuyo du département scientifique de l’institut mon seigneur Émile Aiti de connecter une valeur remarquable aux siens. Il l’a exprimé à votre rédaction, mardi 20 mai 2025.
Cette annonce est venue renforcer un rang magnifique que souhaite bringuer les pourvoyeurs de la section. Une détermination émise 48 heures après la visite guidée de l’I.M.E.A à l’entreprise Plamedi Merveilleux de Dieu du centre de négoce d’Ariwara, et motivée par une présence massive des chimistes dans les différents laboratoires d’analyses chimiques dans les maisons de fabrication.
Il sublime cette section par son importance requérante dans la vie quotidienne. La chimie est vive à l’humanité, elle offre une effervescence extraordinaire au vécu quotidien de l’être humain et animal, puisque nous vivons sa grâce.
《 Les chimistes sont très importants pour la vie humaine. Dans toutes les usines du monde, on retrouve toujours les chimistes. Ça prouve comment la population a intérêt à soutenir les scientifiques pour l’épanouissement de la planète terre》
Il a consécutivement lancée une formule encourageant la population à injecter sa confiance à cette dernière pour un changement parfait de la science.
《Je saisis l’occasion d’éveiller la conscience de chaque personne à reconnaître l’existence bénéficiaire de la section scientifique. Si il n’y a pas de chimiste, tout va tourner au ralenti. La population doit demeurer confiante envers ce département gérant la vitalité terrestre 》 a t-il ajouté.
Le scientifique Etsoni Omuyo ne regrette pas d’avoir choisi son option biologie, qui, aujourd’hui lui valle un grand bonheur à la mercie de la communauté. Il demande toute-fois aux autorités d’assurer la protection jalouse des scientifiques, qui dégagent une énergie considérable pour sauver l’humanité.
Par John LIKAMBO ANDAMA